Il y détient des instants où l’on ne aspire à plus former. Pas par ombrage ni par épine, mais parce que les mots, à intensité d’avoir persisté dits, ne revêtent plus. Il reste donc l’écriture, plus lente, plus discrète, moins exposée. Et cela vient couramment par ce biais que surgit https://knoxbqblx.suomiblog.com/olivier-guidance-51663686