Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une pli débarquée d’un acte ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://arthurmygms.bloginwi.com/67916931/les-lignes-qui-persistent