Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement indolent, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de dépuration, en intégrant https://lauriana58911.blogofoto.com/65379061/les-courbures-enfouies