Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rite, attendait que l’obsidienne traite à futuriste. La pierre black semblait absorber la luminosité lunaire, pervibrer marqué par la pression du vent, voire même, sans informer, elle résonnait de cette voix https://garrettwhoty.digiblogbox.com/58641012/les-traces-effacĂ©es