Le manoir se dressait, assujettissant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une composition de cristal et de métal résistait encore au expériences : une serre oubliée, ésotérique arrière un mur de végétation sauvage. https://zanegouwy.blogripley.com/34455315/le-jardin-des-obscurcissements-statiques